Salarié·e, travailleur·e indépendant·e, profession libérale ou demandeur·e d’emploi… Au Cnam, vous pouvez devenir ingénieur en cours du soir et formation à distance ; en construisant votre parcours à votre rythme et en mixant les modalités de formation (à distance, en semaines bloquées, cours du soir et du samedi*…).
Le titre d’ingénieur·e Cnam est proposé dans 18 spécialités :
Contactez nos services AIOA pour savoir si la spécialité qui vous intéresse y est déployée en présentiel ou accessible en tout ou partie en formation à distance.
La formation se fait à son rythme en construisant son parcours et en capitalisant, sans contrainte de délais, les Unités d’Enseignement nécessaires à l’obtention du diplôme. Toutes les unités d’enseignement constitutives des cursus sont accessibles à Paris, en régions et à l’étranger. Elles ont lieu principalement en cours du soir et du samedi, parfois en semaines bloquées et certaines sont accessibles à distance.
Dans le cadre de la réforme du cursus ingénieur, une structuration du parcours est cependant proposée; la progression dans le schéma ci-dessous constitue un optimum qui doit guider les choix d’inscription.
C’est quoi ?
L’examen d’admission a pour objectif de :
Pour qui ?
Le·la candidat·e qui remplit les conditions suivantes :
Nul ne peut se présenter plus de trois fois à l’examen d’admission.
Comment ?
L’examen d’admission se déroule en deux étapes :
1- Un examen d’admissibilité organisé par les équipes pédagogiques nationales (EPN) à l’établissement public (Paris) ou en régions qui :
Le jury est présidé par un·e enseignant·e de l’EPN ou son·sa représentant·e habilité·e en région, et comprend, outre le président, au moins un membre (1 enseignant·e et/ou professionnel·le). Le jury d’admissibilité transmet au jury d’admission la liste des élèves et les procès-verbaux.
2- Un jury d’admission national qui se charge de :
L’oral probatoire qui équivaut à l’UE information et communication pour l’ingénieur a pour objectif de vérifier que le·la candidat·e a acquis les connaissances, les compétences et le savoir-être requis pour exercer le métier d’ingénieur·e.
Le passage de l’oral probatoire permet :
Nul ne peut se présenter plus de trois fois à l’oral probatoire.
L’inscription à l’oral probatoire est condition par l’admission à l’école d’ingénieur·e·s.
Le sujet du mémoire est arrêté par le directeur de l’école d’ingénieur·e·s sur proposition de l’enseignant·e responsable du parcours. Le mémoire d’ingénieur·e consiste en la réalisation de tout ou partie d’un projet dans un contexte professionnel.
Il s’agit :
Le travail effectif sur le sujet du mémoire correspond à au moins un semestre à temps plein. Il est classiquement précédé de six semaines pour la définition du sujet et l’organisation du travail, et se poursuit par six semaines d’exploitation des résultats et de préparation de la soutenance.
Le mémoire se prépare dans une entreprise ou dans un laboratoire.
La soutenance du mémoire est autorisée par l’enseignant·e responsable du parcours ou le·la tuteur·rice enseignant·e.
Le jury de soutenance du mémoire est constitué par décision du directeur de l’école d’ingénieur·e·s. Il est présidé par l’enseignant·e responsable du parcours qui peut déléguer cette fonction à un·e autre enseignant·e membre de l’EPN. Il comprend, a minima, outre son·sa président·e, le·la tuteur·rice du mémoire, un·e enseignant·e du domaine et/ou une personnalité du monde économique ou de l’enseignement supérieur extérieur à l’établissement dont la compétence se rapport e au sujet du mémoire.
La préparation du mémoire, et de fait sa soutenance, sont conditionnés par la validation de l’examen probatoire.
La prise en compte de l’expérience professionnelle du·de la candiat·e est un des marqueurs du diplôme d’ingénieur·e Cnam HTT. Elle est évaluée sur la base d’un CV et de tout justificatif permettant de juger de la pertinence de son parcours et de son niveau professionnel au regard du diplôme qu’il vise.
L’obtention du diplôme est conditionnée par la validation finale d’une UA validant 15 ECTS d’expérience professionnelle correspondant à l’équivalent de 2 ans d’emploi à temps plein sur des fonctions classiquement confiées à un ingénieur.
Le niveau d’anglais minimal exigé pour la délivrance du diplôme d’ingénieur est le niveau B2 du cadre européen commun de références pour les langues du Conseil de l’Europe, attesté par un test externe reconnu de langues.
Les formations d’ingénieur·e·s hors temps de travail (HTT), ou plus communément appelées « cours du soir », permettent de poursuivre des études supérieures et d’accéder au diplôme d’ingénieur.
Le diplôme d’ingénieur du Cnam est accessible par la VAE dans les conditions prévues par le décret 2002- 529 du 17 janvier 2002 et fixées par le Conseil d’administration.
La Validation des Études Supérieures (VES) vous permet d’obtenir, en totalité ou en partie, un diplôme par reconnaissance de vos études suivies en France ou à l’étranger.